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Allemand

L'allemand (Deutsch en allemand), est une langue appartenant au groupe des langues allemandiques occidentales de la famille indo-européenne. C'est la langue la plus parlée au sein de l'Union européenne

Première mutation consonantique

Avec la première mutation consonantique (erste allemandische Lautverschiebung) aux environs du Ve siècle av. J.-C., naissait le allemandique commun à partir d'un dialecte indo-européen. Cette transformation explique des différences entre les langues allemandiques (plus l'arménien) et les autres langues indo-européenes. On peut, pour simplifier, présenter les faits ainsi :

k → h : cord en latin — Herz en allemand, heart en anglais

p → f : pater en latin — father en anglais, Vater en allemand

t → th : tres en latin — three en anglais, drie en néerlandais

d → t : decem en latin — ten en anglais, tien en néerlandais

g → k : gula en latin — Kehle en allemand, keel en néerlandais

bh → b : bhrātā en sanskrit (frater en latin) — Bruder en allemand, brother en anglais

dh → d : adham en sanskrit — deed en anglais, daad en néerlandais

gh → g : *ghostis en indo-européen (hostis en latin) — Gast en allemand, guest en anglais

Articles complets : Loi de Grimm et Loi de Verner.

Seconde mutation consonantique

On commence à parler de langue allemande lorsque les dialectes parlés dans le Sud-Ouest de l'Allemagne subirent la seconde mutation consonantique (zweite allemandische Lautverschiebung ou hochdeutsche Lautverschiebung, que l'on situe grosso modo vers le VIe siècle), au cours de laquelle la langue commença à se différencier des dialectes du nord (Niederdeutsch, bas-allemand).

Cette modification phonétique explique un certain nombre de différences entre l'allemand actuel et, par exemple, le néerlandais ou l'anglais :

k → ch : ik — ich (je) ; ook — auch (aussi) ; make/maken — machen (faire)

d → t : dag/day — Tag (jour) ; bed — Bett (lit); do/doen — tun (faire)

t → s : wat/what — was (quoi) ; street/straat — Straße (rue) ; eat/eet — essen (manger)

t → (t)z : sitten/sit — sitzen (être assis) ; two/twee — zwei

p → f : slapen/sleep — schlafen (dormir) ; schip/ship — Schiff (bateau) ; help/helpen — helfen (aider)

p → pf : peper/pepper — Pfeffer (poivre) ; paard — Pferd (cheval)

v, w, f → b : geloof/believe — Glaube (croyance) ; avond/evening — Abend (soir)

Article complet : Seconde mutation consonantique.

Le nom d'allemand est également donné aux dialectes du nord qui n'ont pas ou peu subi cette transformation phonétique, même si l'appellation est considérée par les linguistes comme abusive.

Moyen Âge

Entre le Xe siècle et le XVe siècle eut lieu une diphtongaison dans les parlers du Sud-Ouest concernant l'articulation en deux phonèmes de ei, eu et au. Cela explique à nouveau certaines différences entre l'allemand standard et, par exemple, le néerlandais (les lettres dans les parenthèses expliquent la prononcation en utilisant la langue française):

û (ou), → au (aou): hūs — Haus (maison) ; mūs — Maus (souris)

î, (î) → ei (aille) : wīse — Weise (maniére) ; zīt — Zeit (temps)

iu (û) → eu (≈oï): liute — Leute (des gens) ; hiute — heute (aujourd'hui)

Contrairement aux États voisins, les contrées allemandiques sont restées morcelées (Kleinstaaterei) au cours de l'ensemble du Moyen Âge contribuant au développement de dialectes très différents et, parfois, mutuellement inintelligibles. Un premier pas vers une langue interrégionale correspond au Mittelhochdeutsch poétique des poètes de cour vers le XIIIe siècle, bien que l'influence sur la langue vulgaire fut quasiment nulle, en raison de la faible alphabétisation. Aussi les régions allemandiques restèrent-elles longtemps coupées en deux régions linguistiques :

Au Nord, et en particulier du temps de la Hanse, le bas-allemand servait de langue véhiculaire de la mer du Nord à la mer Baltique.

Au Sud se développait petit-à-petit, essentiellement à l'écrit, depuis le XIVe siècle une « langue compromis » entre les différents dialectes qui devint l'allemand standard (Hochdeutsch). Il est à noter que ce processus est assez différent de celui des États voisins qui adoptèrent la langue de leur capitale.

Influence de la Réforme

En 1521, Martin Luther traduisit le Nouveau Testament dans cet allemand standard en développement et en 1534, l'Ancien Testament. Bien que Luther ne fut pas, comme il fut considéré autrefois, le pionnier dans l'établissement d'une langue interrégionale — en élaboration depuis le XIVe siècle — il n'en reste pas moins que la Réforme contribua à implanter l'allemand standard dans les administrations et les écoles, y compris dans le Nord de l'Allemagne qui finit par l'adopter.

Mais, jusqu'au début XIXe siècle, le Hochdeutsch resta une langue souvent écrite, que beaucoup d'Allemands, en particulier dans le Nord, apprenaient comme une langue étrangère.

L'allemand en Europe centrale

Avec la domination de l'Empire austro-hongrois en Europe centrale, l'allemand y devint la langue véhiculaire. En particulier, jusqu'au milieu du XIXe siècle, les marchands et, plus généralement, les citadins y parlaient l'allemand, indépendamment de leur nationalité : Prague, Budapest, Bratislava, Zagreb et Ljubljana constituaient des îlots allemandophones au milieu des campagnes qui avaient conservé leur langue vernaculaire.

Normalisation de l'orthographe et de la grammaire

Johann Christoph Adelung publia en 1781 le premier dictionnaire allemand exhaustif, initiative suivie par Jacob et Wilhelm Grimm en 1852. Le dictionnaire des frères Grimm, publié en seize tomes entre 1852 et 1960, reste le guide le plus complet du vocabulaire allemand. Cette normalisation progressive de l'orthographe fut achevée grâce au Dictionnaire orthographique de la langue allemande de Konrad Duden en 1880, qui fut, à des modifications mineures près, déclaré comme référence officielle dans la réforme de l'orthographe de 1901.

Classification

C'est une langue allemandique de la branche ouest, proche, notamment, du néerlandais.

Langues régionales

bas-allemand

néerlandais

afrikaans

allemand du Nord

bas-saxon

haut-allemand

moyen-allemand

moyen allemand occidental

moyen-francique

mosellan

luxembourgeois

francique ripuaire

francique rhénan

palatin

hessois

moyen allemand oriental

thuringeois (haut-saxon)

berlinois (brandebourgeois)

dialectes de Lausitz

yiddisch

allemand supérieur

francique

francique oriental

francique du méridional

francique du Main

allemand pennsylvanien

bavarois

autrichien

dialectes de Bavière

alémanique

alsacien

souabe

suisse alémanique

bas alémanique

haut alémanique

Répartition géographique

en Europe :

L'allemand est langue officielle en Allemagne, en Autriche, au Liechtenstein, en Suisse, au Luxembourg, en Belgique et dans la région italienne du Tyrol du Sud;

République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Pologne, Russie (Allemands de la Volga), Roumanie (Namat) ;

en Afrique : Namibie, Togo, Afrique du Sud ;

en Amérique : Amérique du Nord (en particulier en Pennsylvanie aux États-Unis où vit une communauté amish importante), Amérique du Sud (Paraguay, Chili, Argentine, Brésil).

Note : que l'allemand soit devenu langue officielle dans certains États des États-Unis d'Amérique est une rumeur infondée.

Populations allemandophones, c'est-à-dire parlant l'allemand standard ou l'un de ses dialectes, classées par nombre estimé de locuteurs. Pays Nombre de locuteurs Remarque

Allemagne 83 300 000 langue officielle
Autriche 7 500 000 langue officielle
Suisse 4 200 000 langue co-officielle
États-Unis 2 000 000
Brésil 1 900 000
France 1 400 000 1
Russie 850 000
Kazakhstan 350 000
Italie 300 000 langue régionale
Argentine 300 000
Paraguay 250 000
Canada 250 000
Pologne 160 000
République tchèque et Slovaquie 150 000
Australie 150 000
Hongrie 145 000
Chili 250 000
Kirghizstan 100 000
Mexique 80 000
Belgique 71 000 langue co-officielle
Roumanie 70 000
Bolivie 50 000
Afrique du Sud 45 000
Ouzbékistan 40 000
Pays-Bas 40 000
Ukraine 38 000
Équateur 32 000
Liechtenstein 30 000 langue officielle
Namibie 30 000
Uruguay 28 000
Danemark 20 000
Slovénie 20 000
Croatie 11 000
Luxembourg 10 000 langue co-officielle
Belize 10 000
Moldavie 7 000
Lettonie 4 000
Lituanie 2 000
Togo

Source : wikipédias allemand et espagnol (en désaccord entre eux). À vérifier depuis une source plus sûre.

Langues dérivées

Le yiddish est une langue dérivée du vieil-allemand, dans lequel ont été introduits des mots d'origine slave ou hébraïque. L'unserdeutsch est un créole formé à partir d'un lexique allemand.

Écriture

L'allemand s'écrit avec les 26 lettres de l'alphabet latin, trois voyelles surmontées d'un Umlaut (sorte de tréma) ä, ö et ü, et un symbole spécial ß, eszet, utilisé en lieu et place de ss dans certains cas (principalement après une voyelle longue ou une diphtongue). La Suisse n'utilise plus le ß depuis les années 1930. Jusque dans les années 1940, l'allemand était imprimé en écriture gothique (Fraktur) et écrit en sütterlin, versions de l'alphabet latin difficiles à déchiffrer pour le profane.

Orthographe

Voir article de fond : Réforme de l'orthographe allemande.

L'orthographe allemande se déduit en général de la prononciation et d'un minimum de connaissances. Il est toutefois à noter que les fortes disparités régionales au niveau de la prononciation peuvent rendre la tâche ardue. Les difficultés orthographiques principales résident dans :

les Fremdwörter (mots d'origine étrangère) : ils sont souvent écrits conformément au mot d'origine (par ex. Milieu, Mayonnaise) ;

les lettres ä et e (e ouvert ou fermé), dans certains cas homophones et dans d'autres de prononciations voisines (par ex aufwendig dérivé de Aufwand, où l'orthographe reformée permet d'aussi écrire aufwändig) ;

la distinction entre consonne simple et consonne double qui, dans un nombre limité de mots et contrairement à la règle habituelle, n'a pas d'influence sur la longueur de la voyelle (par ex. Tip mais tippen, Platz [tz est considéré comme un double z] mais plazieren) ;

la séparation entre les mots (par ex. radfahren « aller à vélo » à côté de Auto fahren « aller en voiture ») et la (non-)capitalisation de certaines expressions (par ex. im dunkeln lassen « laisser incertain » à côté de (jemanden) im Dunkeln lassen « laisser (qqn) dans un endroit obscure »).

Afin de supprimer une partie des difficultés ci-dessus, les représentants allemands, suisses et autrichiens convinrent d'une réforme de l'orthographe. Elle est entrée en vigueur en 1998 en Allemagne et deviendra obligatoire à partir de la mi-2005. La dernière réforme datait de 1901. Les principaux changements concernent :

l'homogénéisation de la graphie des mots de même famille (aufwändig de Aufwand, mais toujours aufwenden) ;

l'utilisation du ß uniquement après les voyelles longues et les diphtongues (on aura alors toujours der Fuß, die Geiß, mais der Fluss, ce qui est analogue aux règles pour les autres consonnes) ;

dans les mots composés, aucune lettre ne sera plus supprimée (Geschirr + Rückgabe > Geschirrrückgabe ou, alternativement, Geschirr-Rückgabe) ;

la généralisation plus exhaustive de l'écriture en plusieurs mots des expressions figées (auseinander reißen), ce qui est la chose la plus critiquée et qui a aussi créé des nouveaux problèmes: "Furcht erregend" (intimidant, traditionellement "furchterregend") mais toujours "noch furchterregender" (encore plus intimidant)

la systématisation de la capitalisation des substantifs (der Dritte) ;

la simplification de la césure et de l'emploi de la virgule.

Cette réforme rencontre une forte critique en Allemagne. Le Land de Schleswig-Holstein a voté le retour à l'orthographe traditionnelle en 1998 (décision annulée pourtant par le Landtag [parlement régional]) et certains journaux et éditeurs ont depuis décidé de revenir à la graphie traditionnelle.

Prononciation

Voir article de fond : Prononciation de l'allemand.

Contrairement à l'anglais ou au français, l'allemand classique (Hochdeutsch) se prononce de manière assez conforme au texte écrit, hormis pour les mots d'emprunt.

Toutefois, les francophones rencontrent généralement quelques difficultés, listées ci-dessous.

Les deux prononciations du ch n'existent pas en français :

après a, u et o, il se prononce /χ/, comme en espagnol dans Juan, « Jean » ;

après i, e, ä, ö et ü, il se prononce /ç/, comme en grec moderne dans Όχι, « non ».

Le coup de glotte au début des mots (et de certaines syllabes) commençant par une voyelle marque une séparation nette entre les mots. Le français, en revanche, a tendance à lier les mots entre eux.

L'accent tonique est assez souvent placé sur la première syllabe, contrairement à la prononciation française standard qui accentue la dernière syllabe.

Le h est aspiré comme en anglais.

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